Les premiers écrits d’astrologie remontent en Mésopotamie il y a 5000 ans.
A cette époque le mouvement astral était considéré comme un acte divin. Les Egyptiens utilisaient l’astrologie afin de prévoir les crues du Nil.
Après la Chaldée, l’astrologie se développa ensuite en Inde, en Grèce et dans la Rome antique où naquit les premières divisions horoscopes et signes zodiacaux.
La Grèce, donna des significations et des influences et appelèrent « zodiaque », le chemin que suivaient les astres.
Les Romains rebaptisèrent les planètes avec les noms que nous utilisons aujourd’hui. Ils découvrirent les almanachs, les éphémérides.
Avec la disparition du monde Romain, l’astrologie disparu de l’Europe, mais se développa au Maghreb.
Elle revint dans l’histoire du monde occidental au plus haut niveau politique à partir du 16ème siècle: notamment par Catherine de Médicis qui faisait fréquemment appel aux talents de Nostradamus. En 1666 Colbert la raye des disciplines académiques.
Après une période un peu terne pour l’astrologie, elle fait son retour après la première guerre mondiale par les journaux populaires. Les premières rubriques astrologiques apparaissent en 1930, suivi du premier congrès international d’astrologie en 1931.
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